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10 novembre 2008

Chapitre 82

Enki était content. Une balance et une protection gratuite. Soudain, il se dit quelque chose. Le sol n'allait pas tarder à s'effondrer sous leurs pieds. Oh, ils étaient protégés, ils ne riqueraient sûrement rien. Mais il avait dans sa poche trois petites billes de verres, dont le fracas pourrait causer sur le champ la mort de la pauvre fécatte. Et c'était une des rares personnes qu'il n'avait pas envie de tuer. Elle était même plutôt sympathique. De plus, il avait laissé ses affaires dans sa chambre. Il ne pouvait donc faire autrement.
Il sortit de la boule d'énergie protectrice, sous le regard étonné de Sonemith. Il courut plus vite qu'il n'avait jamais couru, et entra dans ce qui devrait être uen chambre, mais dont l'aspect négligé et la saleté le contredisent. Il prit sa petite sacoche, laissant sa grande valise -ne contenant que les patates, elle était à présent vide-, son phorreur et sa canne, et sortit de la prétendue chambre. Mais le sol était déjà en grande partie tomber, et il ne restait que quelques lattes. Sonemith était déjà tomber, mais grâce à son bouclier, elle devrait réussir à s'en sortir indemne. Mais lui...
C'est à ce moment qu'il remarqua un escalier en colimaçon. En effet, cette auberge se nommait autrefois Auberge des Etoiles, car c'était un lieu de rencontres d'astronomes. Et il y avait une haute tour, de laquelle ou pouvait observer lesdites étoiles. Mais avec la perversité de la ville, les astronomes ont vite disparu. Mais la tour était restée. Ne s'attardant pas sur les détails historiques et non-passionants de la tour, il gravit les escaliers un à un, ne pouvant faire plus avec ses petites jambes et son grand manque d'exercice. Une fois arrivé en haut, poursuivi par les flammes qui le poursuivait, il put souffler un petit moment. Mais il remarqua une chose qui l'effraya : dans cette salle au sommet de la tour se trouvait une quantité phénoménale de poudre, dynamite, et autres explosifs en tout genre. En une quatité cent fois plus grande que celle du féca du rez-de-chaussée. S'il ne s'enfuiyait pas tout de suite, il allait mourir pulvérisé. IL ouvrit sa petite sacoche, et il chercha dedans. Il sortit une canne à pêche, une lanterne, un trousseau de clé, une cage à pioussin sans pioussin, un pioussin sans cage à pioussin... C'est entre un mulou empaillé et une horloge de grand-mère qu'il trouva enfin ce qu'il cherchait : un parapluie.

  • Faudrait que je fasse du rangement dans cette sacoche, moi. C'est ça, le souci, quand on a une sacoche exspatiale...

'Il rangea tout ce qu'il avait sorti, et ouvrit son parapluie. Il comptait en faire un parachute rudimentaire pour sauter de la tour. Mais il remarqua quelque chose dans la forêt, vers le Nord. Une fumée s'élevait, accompagnée d'une faible lueur.''

  • Les mercenaires. On les rattrape !

Il sauta, sourire au lèvres, et...
La réserve de poudre dans la tour explosa. Etrangement, elle ne blessa en rien l'enutrof. Il soupira d'aise. Mais juste après, il cria quatre fois.
La première, c'est que le souffle de l'explosion s'était engouffré dans le parapluie, et, étant de très bonne fabrication (ce n'était pas l'enutrof qui l'avait construit), il ne se retourna pas, ce qui eu pour effet de tirer sur le bras de l'enutrof, et en même temps de le surprendre.
''La deuxième, c'est qu'il remarqua que l'xplosion ne 'lavait pas laissé indemne : son postérieur était en flammes.
La troisième, c'est qu'il remarqua qu'il se dirigeait à toute vitesse vers une tour, et s'il ne faisait rien, il allait s'écraser contre.
La quatrième et dernière fois, ce fut quand il lâcha le parapluie pour ne pas se cogner à la tour, et qu'il remarqua que c'était très haut.
Il tomba comme une pierre vers le sol, mais, ô bonheur et ô hasard, deux iops qui transportaient de l'eau pour éteindre l'incendie passèrent en desous de lui. Il tomba dans l'eau, et en sortit en pestant.

  • Pouah ! Si c'est pas dans des sorts, je déteste l'eau... Pouah !

Il claudiqua cahin-caha vers la sortie de la ville.

Le lendemain matin, il avait une bouillote glacée sur la tête pour son mal de crâne. Aléak venait de se réveiller en un sursaut. Après avoir discutaillé avec le groupe, il se tourna vers Enki.

  • On est ou, là, au fait ?
  • En dehors de la ville. Elle est en train de flamber. C'est un fléau de moins sur terre.
  • Et maintenant, murmura Sonemith, on ne sait même pas ou sont les mercenaires.
  • Oh, si, je le sais. Ils ne sont pas loin, vers le Nord. Ils n'avaient pas énormément d'avance sur nous.
  • C'est maintenant que tu nous le dit ? hurla Sylphais à l'encontre de l'enutrof.
  • Je suis trop amorphe pour avoir une quelquonque réaction , bien qu'intérieurement, je suis mort de peur. Et évitez de crier, j'ai mal à la tête...
  • Vous devriez nous conduire exactement ou vous les avez vu, monsieur... Monsieur ?

Trop tard. Avec les évenements d'hier, Enki venait de s'endormir, la bouillote toujours sur la tête.

  • Bon, ben, je pense que nous aloons nous passe de ses explications...
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